Une Forme Unique De Jouissance À Deux Sur Une Moto…Qui Roule !


1) Chasseur de femmes

Je patrouille dès 8h30 dans les rues du centre ville de la ville de province où j’habite, ou dans les zones d'activités, avec mon scooter 125 banal, et non ma Harley, pour ne pas me faire remarquer.
Seule une « proie » effectuant un parcours régulier maison --travail est intéressante. Une femme ayant des déplacements aléatoires n'est pas une cible potentielle.

Ce jour-là, je vois une veille AX blanche se garer. J’aurais pu passer mon chemin si je n’avais vu sortir la conductrice, une jeune fille blonde avec une forte poitrine, un pantacourt en cuir et des bottes à talons. Je la vois de dos et je flashe sur ses fesses incroyablement moulées dans ce pantacout en cuir. Je gare mon scooter et je la suis à pied. Quand elle rentre dans un immeuble, je reste un long moment pour m'assurer qu’elle n’en ressort pas. Une pareille tenue pour aller… au travail dénote une allumeuse ou une fille voulant se faire remarquer à tout prix. Dans tous les cas, ce ne peut pas être une introvertie ou une fille qui a froid aux yeux ! Je décide donc de « m'intéresser» à ce cas. Je reviens vers 16 h et j’attends.

Vers 16h30 elle sort de l’immeuble, monte dans sa voiture, et démarre. Je la suis de loin sans difficulté, l’AX ne roulant vraiment pas vite. Son domicile est une maison modeste isolée dans la campagne située à 20km de la ville (je m’y attendais au vu de sa modeste voiture, les loyers étant bien moins cher dans ce type d’endroit).

2) La « Technique de drague au pneu crevé »

J’annule mes rendez vous du lendemain après midi, un vendredi. Je reviens vers 15 h, toujours avec le scooter. Je trouve l’endroit où l’AX est garée. Je me gare le long du coffre de l’AX, fait semblant d’être en panne, m’accroupis devant mon moteur, entre mon scooter et l’AX. A un moment je passe ma main sous la voiture, là où se trouve la roue de secours. Je fais glisser dans ma main un pic à glace qui se trouvait dans ma manche et d’un geste rapide je perce le flanc du pneu.

J’entends le doux sifflement d’air qui m’informe que j’ai réussi : elle n’a plus de roue de secours, ce qui rend la situation bien intéressante. La suite est plus simple.
Faisant toujours semblant d’examiner mon moteur, je pose juste derrière son pneu arrière droit une triple pointe, 3 pointes acérées reliées par une base commune. Comme elle est garée en créneau, elle devra reculer pour sortir. La pointe est posée derrière la roue droite, celle qui est le long du trottoir. De ce fait elle est peu visible des passants et encore moins de la conductrice qui arrivera par le côté gauche.
Puis je rentre chez moi, dépose mon scooter et reviens avec ma Harley 1200 dont tous les chromes brillent au soleil.

Commence alors une longue attente près de la voiture. Cette fois–ci elle sort à 16 h. Je la regarde arriver, elle a la même tenue que la veille, et sa vue m’excite déjà.

3) Demoiselle en détresse

Comme prévu elle monte dans sa voiture sans rien remarquer. Je regarde les pointes s’enfoncer dans le pneu. Mes plans nécessitent que son pneu se dégonfle en dehors de la ville, c’est pourquoi je n’ai pas tout simplement crevé le pneu à l’arrêt. Je pars sans hâte vers ma Harley car je sais sur quelle route la retrouver. Pour ne pas être trop voyant je me tiens derrière la voiture qui la précède et quand celle-ci la double, je regarde intensément le pneu. Le suspens est total car certains pneus peuvent prendre beaucoup de temps pour se dégonfler. C’est pourquoi j’utilise une triple pointe. Mais, même là, rien n’est garanti. Si elle peut arriver chez elle tout cela n’aura servi à rien !
À 5 Km de la ville, je distingue un début d’aplatissement !
Mon cœur fait un bond (et il n’y a pas que lui !) : maintenant, elle va crever en rase campagne et elle n’a pas de roue de secours !
En plus, avec un peu de chances, il n’y aura pas de réseau là où elle s’arrêtera.
Les minutes suivantes sont un pur délice : je n’hésite pas à me rapprocher pour assister à l’aplatissement progressif et inexorable du pneu.
Pour l’instant elle ne se doute de rien, alors que moi je sais. Un sentiment de puissance m’envahit.
A 10 kilomètres de la ville, le pneu est complètement plat, et la voiture commence à zigzaguer. Elle s’arrête, descend, je la vois frapper le pneu du pied plusieurs fois avec rage. Comme l’endroit est dangereux, elle remonte dans sa voiture et doit rouler en cahotant assez longtemps jusqu’à une petite aire de repos, où elle s’arrête et ressort pour inspecter le pneu. Il est complètement mort. Elle sort ses outils et prend la position classique de la femme qui attend de l’aide.
J’interviens rapidement, ne voulant surtout pas prendre le risque d’être devancé. Je commence à changer la roue, démontant la roue crevée, libérant la roue de secours située à l’extérieur, sous la voiture (je connais bien l’emplacement !), tout en parlant de façon à faire connaissance. La roue de secours est en place, mais, au fur et à mesure que je rabaisse le cric, la roue s’aplatit jusqu'à toucher le sol. Je la lui montre en disant :
« J’ai bien peur que votre roue de secours soit complètement à plat, elle aussi »
« Mais ce n’est pas possible !»
« Avez vous déjà penser à vérifier cette roue depuis que vous avez acheté cette voiture ?»
«Heuuu , non jamais… »
« Eh bien voilà… »
Comme je l’espérais, il n’y avait pas de réseau, je n’ai donc eu aucun mal à la convaincre de la ramener chez elle (j’explique que justement j’avais un 2eme casque ayant déposé un ami chez lui), surtout que cela semble être le genre de fille un peu légère susceptible d’être impressionnée par une Harley. Elle monte derrière moi. J’adore avoir une passagère en moto, sentir ses seins sur mon dos et ses mains cramponnées autour de ma taille. Je force un peu sur les freins dans les virages pour que ses seins s’écrasent plus fortement. À près de 15 kilomètres de la ville, j’avais repéré la veille une aire de repos avec des WC.

4) En moto … avec un gode
Je m’arrête prétextant un besoin urgent.
Quand je sors, je joue mon va-tout : je lui tends un gode qui contient un vibreur à piles (dans son emballage pour bien montrer qu’il est neuf, pas trop grand -14 centimètres- pour ne pas l’impressionner) du geste le plus naturel possible, en disant « à votre place, j’essaierais cela, vous ne le regretterez pas. » Apres quelques hésitations, elle le prends et se dirige vers les WC.
Quand elle est dedans, je me penche, prends dans ma poche un gros clou de tapissier et le dépose sous la moto, juste devant le gros pneu arrière. Puis je remonte sur ma moto. Elle ressort des WC et marche avec difficulté, ce qui est bien normal, on voit la bosse que le gode fait dans son pantacourt, entre ses jambes. Elle monte sur la moto avec un gémissement. Aussitôt je fais rugir le moteur en restant au point mort.
Les célèbres vibrations du moteur Harley commencent à se répercuter en elle par l’intermédiaire du gode, dont l’extrémité est coincée entre elle et la selle. J’entends un « wouah » dernière moi. J’ai bricolé la télécommande du gode pour pouvoir la fixer sur le guidon. Je fais alternativement vibrer le gode par la télécommande, puis par les vibrations du monteur, puis enfin je combine les deux à la fois. Les « wouah » se transforment vite en hurlements de jouissance.
Je démarre. Elle se cramponne à moi en hurlant de plus en plus fort.
Après quelques kilomètres un glissement imperceptible de l’arrière de la moto m’averti que le pneu arrière est en train de se dégonfler. Bientôt le plop plop plop typique du pneu à plat se fait entendre. Comme ma passagère est située directement au-dessus de lui, et que la couche d’air qui la séparait de la route a disparu et ne joue plus son rôle d’amortisseur, chaque cahot, chaque inégalité de la route se répercute directement au cœur de son vagin grâce au gode.

5 ) L’incroyable jouissance
Sa jouissance devient explosive, volcanique !! Ses ongles rentrent dans ma chair à travers mon cuir pourtant épais de motard et me font mal.
Les hurlements de plaisir deviennent des gémissements, je sens que se prépare un orgasme incroyable derrière moi.
Puis les gémissements redeviennent des hurlements. Mais cette fois elle hurle « arrêtez, stop, STOP, je vous en prie, J’en peux PLUUUUS, c’est trop FORT». Je réduis la vitesse à 40 à l’heure, mais je continue, imperturbable malgré ses cris, et en prenant soin en plus de rouler sur les parties les plus déformées de la chaussée ! Elle voudrait arracher le gode, mais c’est impossible son pantacourt est trop serré !
J’ai souvent remarqué que, lors d’une « hyper » masturbation, si cela devient trop fort pour une femme, qu’elle vous demande d’arrêter, et que l’on continue malgré cela, elle s’en prend à votre sexe. Elle n’échappe pas à la règle. Mon sexe dressé par l’excitation était déjà tout proche de ses mains crispées sur mon bas-ventre. Elle défait le zip, sort mon sexe à l’air libre et commence à pousser et tirer dessus avec une force qui m’arrache des cris. Nous sommes sur la petite route quasi déserte qui conduit chez elle, il n’y a pas de témoin. De toute façon son état est si intense que je ne suis pas sûr que la présence de témoin au bord de la route l’arrêterait ! Il y a dans cette situation de quoi tomber par terre : le pneu arrière est maintenant complètement à plat, la moto est presque incontrôlable dans chaque virage (heureusement la route est assez droite), j’ai derrière moi une passagère qui hurle de jouissance, collée contre mon corps, et dont je sens les seins comme des ballons écrasés contre mon dos, et je subis une masturbation des plus violentes qui me fait crier !!! Je réduis la vitesse à 30 à l’heure, et je continue.
Mais le va et vient de ses deux mains cramponnées à mon sexe devient bientôt irrésistible.
Je roule doucement à 20 à l’heure et, dans les virages, je sors les pieds pour redresser la moto. Le pneu se met à geindre puis à se tordre. Désormais chaque tour de la roue génère un cahot violent qui se répercute directement dans son vagin puisque le gode est toujours en place. Elle se met à gémir à l’unisson avec le pneu. C’est un moment extraordinaire, on entend le chuintement du pneu écrasé entre la route et la roue et l’instant d’après comme un écho le « oooohhh» généré par l’impact en elle du cahot engendré par la torsion du pneu. Je ne manque pas d’en rajouter encore en appuyant frénétiquement sur la télécommande !
Bientôt « je sème à tout vent » comme le dit la vieille devise du dictionnaire Larousse… Vu les circonstances exceptionnelles, c’est si fort que bien des gouttes arrivent sur le compteur de vitesse situé au milieu du guidon et même au-delà, malgré le vent contraire! Je pousse un énorme cri de jouissance qui fusionne avec le sien et j’arrête enfin la moto dans le champ devant sa maison. Nous descendons et nous nous allongeons, haletants, épuisés, l’un à côté de l’autre, dans l’herbe, et restons là un long moment sans parler, à savourer l’instant et à reprendre notre souffle. Une odeur âcre de caoutchouc brûlé nous prend à la gorge.
Le pneu arrière a été porté par le roulage à plat à une température si haute que la caoutchouc fume. Nous restons là encore un moment en silence à respirer cette odeur à la fois piquante et enivrante. Puis nous entrons dans sa maison où elle retire enfin le gode.
Nous sommes vendredi soir, seuls dans une maison isolée, sa voiture comme ma moto étant inutilisable. Apres de tels préliminaires, le week end s’annonce très très chaud, mais cela c’est une autre histoire….

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